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L’euro en mal de confiance...
30/12/2008 16:57
Sept ans après, les Français n’ont pas oublié leurs francs
Plus d’un consommateur sur quatre pense toujours dans l’ancienne monnaie pour ses achats quotidiens.
Trentenaire, parisien, surdiplômé et gagnant bien sa vie, Olivier a le profil idéal, selon l’Insee, pour ne plus réfléchir qu’en euros. Et pourtant, la semaine dernière, il a fait une rechute, à la table d’un café branché. « 3,60 euros le petit noir, c’est l’équivalent de près de 25 francs », s’est étranglé ce cadre supérieur devant le prix exorbitant.
Obligés de régler leurs achats avec la monnaie unique depuis le 1er janvier 2002, Les Français semblaient avoir pris le pli. Vu le taux de conversion (1 euro pour 6,55 francs), ils n’avaient pas le choix : la table de multiplication par 7 est la plus difficile à maîtriser. Plus chanceux, les Allemands n’ont eu qu’à faire « fois deux » pour passer du mark à l’euro. Du coup, pour les dépenses quotidiennes, de nouveaux prix psychologiques sont apparus, comme 1 euro pour une baguette. Mais sept ans après le passage à l’euro, le compte n’y est toujours pas.
Depuis fin 2006, la Commission européenne a cessé d’interroger les eurocitoyens sur le sujet dans son Eurobaromètre semestriel. À l’époque, plus de 30 % des Français estimaient que l’euro présentait plus d’inconvénients que d’avantages, et ce taux était en constante augmentation.
Manque de lien affectif
Selon l’Insee, qui a publié en avril dernier une étude sur le sujet, plus d’une personne sur quatre pense encore uniquement en francs pour ses dépenses alimentaires. Même pour des achats quotidiens et de montant limité, seulement, 55 % des Français pensent systématiquement en euros.
Les plus de 55 ans sont cinq fois plus susceptibles d’utiliser le franc que les jeunes de moins de 25 ans, les ruraux 60 % plus que les Parisiens, et les diplômés de l’enseignement supérieur deux fois plus que les non-bacheliers.
Et le phénomène s’accentue pour des biens au prix élevé, ou dont la fréquence d’achat est rare, comme un appartement ou une voiture. Là, d’autres particularités apparaissent. « Les femmes ont davantage tendance à convertir mentalement les prix des voitures en francs, ce qui est probablement lié à un intérêt plus faible que les hommes pour ce bien », relève Maêl Theulière, de l’Insee.
Pas étonnant, dans ces conditions, que la plupart des banques continuent d’éditer leurs relevés de compte dans la monnaie officielle… et en francs. Ou que toutes les chaînes de supermarchés continuent d’afficher les prix en francs. Elles auraient dû abandonner le double affichage le 30 juin 2003, comme le recommandait la Commission européenne. Mais les banques craignent de se fâcher avec leurs clients âgés. Pour les distributeurs, les étiquettes en francs sont censées rassurer les consommateurs sur le fait que, non, l’euro n’a pas contribué à l’inflation.
Forcés de s’adapter, les Français n’ont d’ailleurs pas créé de lien affectif avec l’euro. La preuve : les « balles » (1 franc), « sacs » (10 francs), « briques » (10 000 francs), « bâtons » et « plaques » n’ont pas été convertis. Quant au « Pascal », feu le billet de 500 francs, il n’a pas encore trouvé d’héritier.
Commentaire de la bête plumée (30/12/2008 17:09) :
Assez de cette monnaie de perlinpinpin qui nous a grugé notre pouvoir
d'achat en provoquant une hausse des prix phénoménales sans que nos
salaires est suivis, résultat, une superbe baisse de notre pouvoir
d'achat quoi qu'en disent l'INSEE et nos braves politicards,
qui, au passage, ne se sont pas gênés de s'augmenter et à tous les
niveaux (Président de la République, Ministres, Députés et Députés
Européens,Sénateurs, Consseillers généraux et Régionaux et bien sur notre
cher Maire d'Hénin Beaumont)...
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Commentaire de Liberz le Franc (31/12/2008 11:58) :
Bon courage au peuple Slovaque qui va vite déchanter. L'abandon de la
couronne slovaque pour cette monaie de singe va leur être vite fatale comme
pour toutes les nations européennes qui ont intégrées la zone euro
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Commentaire de CQFD (02/01/2009 11:05) :
En 1998, je gagnais environ 5200 Francs mensuel et je payais alors une
baguette de pain 1,10 Francs. En 2008, je gagne 1200 euros par mois, soit
7871 de nos bons vieux Francs et la baguette de pain se vend 1,05 euro soit
6,88 Francs. Sur cette période de 13 années, dont 7ans avec l'euro,
mon salaire à eu une progression annuelle constante de +3.95 %. La baguette
de pain sur cette même période, a affichée une progression annuelle
constante de +51%. Les chiffres parlent d'eux même et effacent tous
les beaux discours de l'INSEE et de tous les politiques à la solde de
Bruxelles : l'euro a bel et bien plombé notre pouvoir d'achat !
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Quand nos élus délaissent les morts de la Nation !
30/12/2008 08:11
Le 8/12/2008 nous soulevions notre réprobation quand aux gestes imbéciles de quelques nazillons écervelés qui avaient pour la 3ème fois souillé des tombes de soldats morts pour
la France.
Mais
il y a un acte qui serait pire encore à l’encontre de ses serviteurs de
la Nation
: ce serait l’oubli !
Et bien ce pas semble depuis longtemps franchis par l’Etat qui délaisse peu à peu de nombreux cimetières ou nécropoles militaires, mais aussi par de nombreuses communes qui laissent à l’abandon leurs carrés militaires. Ici même sur le territoire Héninois, c’est une plaque commémorant tous les morts de la premières guerre mondiale ayant été employé par la compagnie des mines de Dourges, plaque située sur le site du 2Bis, qui est dans un état de délabrement lamentable. Nos dirigeants et élus locaux n’auraient-ils pour ses soldats aucunes reconnaissances ? Le devoir de mémoire, prôné officiellement par l’Etat, ne serait-il qu’un vain mot dont la vacuité n’aurait d’égal que l’indifférence de ses représentants ? Dans l’affirmative je pense alors que ces gens ne valent pas mieux que ces profanateurs cités plus hauts.
PW
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A qui profite le carnage ?
29/12/2008 14:06
L’horreur suscitée par les centaines de morts lors du bombardement par Tsahal de la bande de Gaza ne pouvait qu’amener cette condamnation internationale. Outre les propos toujours outranciers des principaux pays arabes, comparant cet acte de guerre à un crime contre l’humanité, l’Europe, les USA et
la Russie y ont été également de leurs réprobations, très mesurée toutefois en ce qui concerne les USA. Avec du recul toutefois, si nous pouvons condamner la réaction vive de l’Etat hébreux, il ne s’agit toutefois de pas oublier à qui profite ce carnage. Les conséquences directes de ce bombardement sont que Mahmoud Abbas, président légitime de
la Palestine , partisan du dialogue avec Israël, se retrouve isolé. Son opinion publique le lâche au profit des radicaux et en premier du Hamas. Car c’est bien au Hamas que profite cette agression qu’il a toujours voulue. C’est le Hamas qui est à l’origine des tirs incessants de roquettes Qassam sur Israël, il prévoyait déjà, les élections législatives israéliennes se faisant proches, la réaction des Israëliens. Il savait que Tzipi Livni, actuellement dans une impasse politique, se devait d'opter pour l’option militaire. Le Hamas avait besoin enfin de cela, car il commençait à perdre de son aura populaire après tant d’années d’exercice infructueux du pouvoir à Gaza. Un pouvoir qui n’a en rien réglé les problèmes quotidiens des Gazawouis (économie, santé publique, …) et qui a laissé s’étendre la corruption dans tous les rouages de l’Administration. Aussi, là, s’en sort-il avec une nouvelle image du martyr, absout de toutes ses fautes passées, lavées par le sang des autres. Israël ne pouvait faire de meilleur cadeau.
PW
Commentaire de Dup (31/12/2008 09:16) :
Le nombre de morts suite à la réaction impitoyable d’Israël peut nous
attrister, mais une fois passée l’émotion, il ne faut pas perdre de vue que
cette action n’est que la résultante d’une constante agression du Hamas sur
Israël. L’Etat Hébreux, comme tous les Etats du monde, a le devoir de
veiller à la sécurité de ses citoyens et de les défendre contre toutes
hostilités. Il n’a pas agit autrement, n’en déplaise à certains
observateurs aux propos outranciers.
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Je persiste et je signe
27/12/2008 11:03
Mon blog de mercredi a suscité beaucoup de controverses sur les sites internet des principaux journaux. Certains n’ont pas compris ma remarque et m’ont accusé de faire de la démagogie.
Je persiste et je signe. Ce n’est pas faire de la démagogie que de s’étonner de l’absence concomitante du Président et de son Premier ministre. Libre à chacun bien évidemment de prendre les vacances qu’il souhaite, mais pas en même temps, ni de surcroit lorsqu’une partie de nos compatriotes affronte le Noël sans doute le plus difficile depuis plusieurs décennies.
Mais au-delà de ce point précis, c’est la conception de la fonction présidentielle qui est en jeu. Je crois en effet profondément que la France a besoin d’un Président de la République qui ne gouverne pas seulement, mais qui incarne la Nation. La dimension symbolique de la fonction est essentielle à la bonne marche de notre pays. Les Français doivent se retrouver dans leur Président et c’est ce que ne comprend manifestement pas Nicolas Sarkozy.
Sa prétendue modernité n’est finalement qu’une facilité qu’il souhaite se donner afin de cumuler les avantages de la fonction sans en accepter les contraintes. En voulant jouer sur tous les tableaux, le Président ne semble pas saisir qu’il scie la branche de l’institution présidentielle sur laquelle il est assis.
De même, j’ai lu aujourd’hui, avec stupéfaction, que le Président de la République s’inviterait au Conseil National de l’UMP du 24 janvier pour mettre en place la nouvelle équipe de direction. Son message au pays est clair : « C’est donc moi le patron de l’UMP ».
C’est tout l’édifice institutionnel voulu par le Général de Gaulle qui s’effondre donc ; le Président n’est plus au-dessus des partis, mais l’homme d’un parti. Il ne faudra pas pleurer quand la colère montant des profondeurs du pays, le premier qui sera emporté, sera le chef du clan.
Raison de plus pour préparer au plus vite l’après Sarkozy avec une équipe solide et un projet volontariste.
Nicolas Dupont Aignan
Commentaire de DLR1 (27/12/2008 11:06) :
Je vous envoie ci-joint ce petit commentaire que j’ai fait paraître sur le
blog MJS, car je crains que la teneur de celui-ci fasse qu’il soit censuré.
Il fait suite à l’article : »Quand la droite agit contre les chômeurs, nous
luttons contre le chômage »(sic) :
Il est vrai que l'option économique prise par les socialistes au
parlement européen n'a pas favorisé l'emploi, l'ouverture
des frontières à la Chine, l'Inde et autres nations faisant fi du
droit social a été une catastrophe pour les petites gens que le PS était
censé défendre ! Le PS s'est même permis de faire passer avec
l'UMP un texte par la voie parlementaire alors que les Français
l'avait rejeté par voie référendaire. Ce texte contient en germe tous
les attribut de l'ultra-libéralisme qui est responsable de la
progression du chômage en Europe et en France... Merci encore une fois,
quel cynisme de la part de gens qui disent avoir la fibre sociale
développée.
Posté le 27/12/2008 à 11.59 sur le Blog de la MJS
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Commentaire de A quand un vrai Président ? (27/12/2008 11:12) :
Quitter la France en cette période où les Français sont des plus déprimés
ne relève pas de la lacheté, mais du mépris...
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Commentaire de Suis-je encore socialiste ? (29/12/2008 08:26) :
IL est parfaitement anormal que le Président de la République et son
Premier Ministre soient absents en même temps du territoire national.
Egalement anormal qu’ils fassent des commentaires en territoire étranger
sur la politique intérieure française. Je ne vois rien de démagogique à
souligner ces faits. Je pense que Debout la République et Nicolas Dupont –
Aignan ne l’ont pas fait dans l’unique but d’acquérir une notoriété (ils
valent mieux que cela).
Le plus regrettable est que c’est ce type d’intervention qui fasse réagir
les médias. En tant normal, NDA développe des études de fond sur les
problèmes que rencontrent la France (crise économique, sociale,
identitaire, culturelle…) et sur l’échec de la construction européenne, et
tente d’y apporter des remèdes par le biais de ses 101 propositions (dans
lesquelles les autres partis n’hésitent pas à piocher au passage), et là,
pas un journaliste pour s’y intéresser. Preuve s’il en est de la
médiocrité actuelle de tous ces scribouillards…
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La place du Président et du Premier ministre est auprès des Français !
24/12/2008 15:49
J’ai récemment visité l’appartement de Georges Clemenceau, transformé en musée, rue Franklin, près du Trocadéro à Paris.
Rien n’a changé depuis sa mort le 24 novembre 1929. Le temps semble suspendu et cela est d’autant plus émouvant que le petit musée installé à l’étage au-dessus révèle des facettes inattendues du personnage, son éclectisme, son extrême sensibilité, qui contrastent avec l’image habituelle du « Tigre ».
On comprend surtout en visitant ce musée pourquoi Clemenceau était le seul qui pouvait rassembler la Nation lors de la terrible épreuve de 1917 où tout semblait s’effondrer.
Seul Clemenceau, comme Président de la Commission de la Défense du Sénat de 1915 à 1917, allait au front visiter les tranchées partager l’ordinaire des poilus. Ce n’était pas une image d’Epinal mais la réalité d’un homme qui ne pouvait accepter de voir ses compatriotes au front pendant que les élites françaises étaient confortablement au chaud à l’arrière.
Quel contraste avec les cercles du pouvoir d’aujourd’hui qui, au moment où des dizaines de milliers de salariés voient leur entreprise fermer, s’envolent toujours plus loin, ici au Brésil, là en Egypte, pour réveillonner à l’écart des difficultés du pays. Au mieux, c’est une maladresse, au pire c’est une faute.
Les Français qui souffrent auraient aimé en cette fin d’année voir leurs dirigeants auprès d’eux, sans ostentation, avec simplicité et sincérité.
Nicolas Dupont - Aignan
Commentaire de nez de chien (31/12/2008 09:07) :
Plutôt à gauche, voir très à gauche de l’échiquier politique, je ne raffole
pas particulièrement de Nicolas Dupont Aignan et de sa bandes de gaullistes
anachroniques. Toutefois, et il m’en coûte de le dire, je suis en accord
avec ses propos. En effet, avoir mis à profit un sommet UE/Brésil pour
prendre des vacances loin d’un pays qui traverse une grave crise, s’ingérer
dans les réunions de l’UMP pour régler au détail prés les rouages de ce
partis font que cet homme n’est pas le représentant de la Nation, le
président des français mais l’homme d’un parti ne représentant que
lui-même.
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Commentaire de DLR1(Canal Historique) (31/12/2008 09:38) :
Ravis que vous vous ayez trouvé des atomes crochus avec Nicolas Dupont
Aignan, toutefois je conteste le terme anachronique employé dans votre
commentaire. Le Gaullisme n'est pas anachronique, il n'a jamais
été autant d'actualité qu'aujourd'hui !
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